Bénin/Glyphosate, djihadisme et cybercriminalité : Richard Ouorou soulève un triptyque de préoccupations

Dans son post, Ouorou utilise un langage imagé pour illustrer ses préoccupations. Il met en parallèle l’utilisation du glyphosate par les paysans, pointant du doigt le manque d’information sur les dangers de ce produit cancérigène, et anticipe un futur où les régions du Nord seraient touchées par le djihadisme et le Sud par une montée de la cybercriminalité.

Débat enflammé sur la toile par diverses réactions des internautes: certains soutiennent ses critiques, appelant à une révision des priorités de développement, tandis que d’autres défendent les avancées comme la construction d’infrastructures de transport et d’autres projets d’envergure. Le débat se focalise également sur l’absence de propositions alternatives claires à moins de deux ans des prochaines élections, soulignant une demande croissante pour un dialogue politique plus substantiel et inclusif.

Les commentaires reflètent un mélange de soutien et de scepticisme envers les critiques de Ouorou. Certains internautes appellent à une action concrète et à la mise en place de politiques publiques plus efficaces, tandis que d’autres défendent les initiatives en cours comme nécessaires pour le développement économique et social du pays.

Le post de Boni Richard Ouorou a le mérite de soulever des questions importantes sur l’orientation  actuelle du développement au Bénin, invitant à repenser les stratégies pour intégrer plus efficacement les besoins et les aspirations de la population dans les politiques gouvernementales. Ceci met en lumière la complexité du développement durable et la nécessité d’un engagement continu pour trouver un équilibre entre les infrastructures physiques et le bien-être social et économique des Béninois

L’avenir d’une société ne peut pas être entièrement bâti uniquement sur des infrastructures en béton. En effet, pour assurer un avenir durable et prospère, il est essentiel de prendre en compte d’autres aspects tels que le développement humain, la protection de l’environnement, l’éducation, la santé, etc. Ainsi, la construction de l’avenir nécessite une approche holistique prenant en compte tous ces éléments.

Lire le texte de Boni Richard Ouorou

Donc au Bénin se développer c’est construire de belles routes avec de l’argent emprunté alors que la jeunesse est sans emploi, sans perspectives d’avenir et que la majorité n’est pas adéquatement formée ?

Les paysans traînent des bidons de glyphosate sur la tête remplis d’eau pour cuire des repas qu’ils partagent en famille par manque d’information sur ce produit hautement cancérigène?

À cette allure, dans 10 ans au nord tous nos cousins seront djihadistes et nos cousins du sud que des gaymans.

L’avenir ne se construit pas avec du béton.

Prenez soin de vous.

Boni Richard Ouorou

Rico Dolar : Fofo Boni Richard Ouorou : L’heure n’est plus à la dénonciation ou à ressasser les maux mais à proposer une alternative. À moins de deux ans des élections, aucune dynamique ne semble courageusement s’affirmer pour susciter le débat politique populaire. Il est vrai que le débat politique est peu déterminant au regard des facteurs de précarité, d’analphabètisme et autres mais certains ont soif de ce débat politique pour s’assurer de la qualité et de la sécurité du virage…

ELias Djivide : Rico Dolar Pas plus ! Nous voulons bien savoir ce qu’ils veulent proposer.

– Boni Richard Ouorou à Rico Dolar : tu as la compréhension difficile petit frère. Parce que dans ce que j’écris la proposition est inversée à la dénonciation. Il faut parfois de la volonté

Fadeyi Kader à Rico Dolar : merci

Marius Chester Ayena : Rico, c’est ce débat politique que l’autre avait suscité à l’époque à travers le « dialogue itinérant ». Mais la suite nous savons tous.tes. C’est ce qui lui a valu une privation de liberté jusqu’à nos jours.

Sabi Daré Orou Benon : Proposer une alternative à qui? Tu es sûr que le Django écoute même ses collaborateurs les plus proches ?

Martin Doute

Rico Dolar mais il a déjà proposé, relire bien son message, pour comprendre

Auteur – Boni Richard Ouorou à Rico Dolar : malheureusement je dois avouer que tu as raison sur un point, le Beninois peut paraître hypocrite même en politique. Certains préfèrent rester en embuscade et surgir à la dernière minute pour se faire passer pour une personne nouvelle en comptant sur l’amnésie populaire.

Martin Doute à Dudélice Tella , : goudron offre quel emploi ,dis la vérité

Kazzy Houngbo à Martin Doute : c’est très facile de répéter création d’emplois. Mais Quel emplois vous pouvez créer sans rien construit au préalable ? Ne mourrez pas faute de connaissances,le Bénin d’aujourd’hui n’est-ce plus ce Bénin d’avant. Aujourd’hui mettez dans la barre de recherche Facebook :Guide touristique et vous trouverez de nombreuses pages qui guident les visiteurs . Cela n’est pas derrière les efforts du gouvernement

Abdoulaye Atta à Rico Dolar : fofo, vous pouvez au moins faire comme lui pour prouver que ce n’est pas les bétons la priorité du peuple.

Alexandre Hounyo Jumeaux Nationaux  à Rico Dolar : Ce gouvernement est à l’écoute vous pensez ?

He Owence Ahossi à Rico Dolar : assumons avec une honnêteté intellectuelle, que ce qu’on nous vend ne saurait jamais être appelé développement. Le développement ne saurait être vraiment la construction de quelques kilomètres de route. Nous devons penser autrement le développement tout en mettant au centre des modèles de développement l’être humain.

Ambroise Yama Medenou à Boni Richard Ouorou : faites aussi des propositions pour sauver cette jeunesse.

Et malheureusement les vieux démons surgissent. Mr Boni Richard, pourquoi vous faites ça ? pensez-vous faire mieux que le Président Patrice TALON si vous étiez à la tête de ce pays?. Dans votre quête du pouvoir, soyez un peu sage. Ça vous honore pas ses propos vulgaires.

N’tcha M’po Sévérin Jünįör

Triste mais vrai alors cher papa que faites vous pour aider la jeunesse dans cette situation de manque d’emploi au Bénin ?

Moutarou Olatoundé Abdelkassir Kinnou : Je me permet juste de réagir à votre publication du point de vu de ma petite connaissances. Aucun intérêt politique.

Sur ce que vous avez souligné sur les paysans. Je crois qu’il y a de nombreuses ONG agricole avec des techniciens sur le terrain pour orienter les agriculteurs. Au même moment, n’oubliez pas que l’agriculture à son propre comportement qui des fois est en contradiction avec les enseignements du technicien. Le paysan s’en fout de ce que ce produit peut lui créer. Quand vous lui en parler. Il vous dit que malgré ça qu’il est plus en forme que vous. Moi j’ai vu les producteurs goûter aux herbicides juste pour évaluer la qualité. Quand vous dîtes à un producteur qu’en utilisant 1kg d’engrais sur 1ha, il aura un rendement de 5 T. Il va se dire que donc s’il utilise 2kg il aura plus de 5T. Et il va le faire. Ça n’a rien à voir avec le gouvernement. Mais plutôt leur comportement. Et la majorité des producteurs ont l’information. Mais la négligent.

En matière de perspectives d’avenir, je crois que depuis 2017, il y a eu procédure d’orientation des futurs bacheliers. Même si jusque ça n’a pas encore donné grand produits. Je sais qu’à travers ce programme, nous avons découvert beaucoup de bourses venant de nombreux pays dont on ne savait pas. Et aujourd’hui, à partir des choix, les élèves bénéficie de certaines bourses pour aller étudier à l’extérieur. Même si pour certains, les conditions de vie ne sont pas facile. De plus, avec l’ANPE et le PSIE, il y a un programme de formation et d’insertion professionnelle des diplômés et non au Bénin. Je pense que la GDIZ aussi est base d’emploi pour le futur. Si bien sûr les prochains gouvernants en font bon usage. Puisque j’ai cette crainte là aujourd’hui.

Le développement, c’est un processus. Avec le nombre de diplômé aujourd’hui au Bénin dans chaque domaine de formation, tout le monde ne peut avoir d’emploi. Ça c’est certain. Le prochain gouvernement viendra faire ce qu’ils peut. Mais le problème de chômage ne finira jamais. Et si nous ne savions pas, le taux de chômeurs va d’augmenter. Puisque nos universités continuent former.

Voltaire Bissosi : Maintenant,au moment que le Bénin se construisait en Argile, où sont ils les béninois riches ? . Ou sont les emplois créés ? Pourquoi les béninois pendant tout ce temps sont restés au chômage ? ,ou sont les barrages hydrauliques construits ?, . Vous ferez mieux de vous taire…

Strass La Paillette : Je sais juste 2 choses le reste ne m’interesse pas

1tout les politiciens ou personnes qui visent a allez au pouvoirs regardera tjr son intérêt d’abord ,vous êtes tous les mêmes.. 2 la loi du plus fort sera tjr la meilleure

Christian Jurebelson Héro Agbodame : Ainsi donc…La construction de route de qualité pour facilité la mobilité, le déplacement des personnes et des biens n’est pas un facteur de développement.

Le développement selon les standards de certains, c’est laisser les parents et compatriotes de Ouassa Pehunco, Kouandé, Kerou sans infrastructures de transport pour qu’ils continuent de souffrir. Le développement, c’est laisser des populations entières esclavées pour rendre compliquer l’évacuation des femmes enceintes vers les hôpitaux. Le raccordement de nombreuses localités aux réseaux électriques, n’est pas du développement. L’accès à l’eau potable au profit des millions de beninois n’est pas du développement. Vous dénoncez le chômage, mais les ouvrages pour redonner un attrait touristique au pays, la modernisation de nos villes, la construction des palais royaux et des espaces culturels pour relooker le pays et redybamiser son secteur touristique pourvoyeur d’emplois, est condamnable pour certains…Le ZONE INDUSTRIELLE n’est pas du développement…La SGDS pour rendre notre cadre de vie propre n’est pas du développement. Les marchés modernes pour permettre à nos mamans de faire leurs petits commerces dans des espaces propres et sécurisés plutôt que de patauger dans des eaux usées avec les risques de maladie, ce n’est pas du développement. La lutte contre l’inondation à Cotonou, n’est pas du développement parcequ’il vaudrait mieux laisser les populations exposées aux risques d’inondation pour permettre aux politiciens de jouer après les sinistres des bons samaritains avec des bidons d’huiles et des sacs de riz devant caméra…La construction des centrales électriques pour rendre plus disponible l’énergie électrique n’est pas non plus du développement…La construction de l’hôpital de référence de Calavi pour améliorer la qualité de l’offre de soin dans le pays n’est pas du développement… la digitalisation des services publics n’est pas du développement…

Finalement, il nous faudra expliquer la NOTION DU DÉVELOPPEMENT selon certain…

Je peux comprendre qu’on demande plus…je peux comprendre que mette le doigt sur ce qui marche moins…mais s’attaquer aux avancées notables qui améliorent la qualitativement la vie des populations et insinuer que les la construction des infrastructures de transports et autres ne participent pas au développement d’un pays friserait à de la mauvaise foi…

Il faudra identifier les secteurs où le gouvernement a failli pour faire de meilleures propositions, réaliste si on veut être une alternative crédible.

Déo-gratias Mensah à Boni Richard Ouorou : on a compris. Permettez moi de vous dire d’aller chercher les maux dont vous parlez dans l’histoire . Tout est nécessaire mais il y aura forcément des priorités.

Aujourd’hui le peuple du nord ne serait entrain de traîner ces bidons sur la tête si les pionniers du courant politique que vous suivez, quand ils étaient aux affaires n’avaient pas pris l’argent du contribuable et ceux prêtés au nom du contribuable pour faire des remerciements et des java agréables en laissant l’utile.

Ils auraient dû faire quelques choses de durable et non précaires avec nos sous et qu’aujourd’hui le Président du Bénin serait entrain de donner à grande échelle de l’eau et de l’emploi à tous .

Les problèmes que vous soulevez révèlent de la médiocrité historique de nos gouvernants dont le président Patrice Talon fait face de manière sacerdotale en y apportant des solutions à une fréquence imparable aujourd’hui.

Il est meilleur que vous tous et meilleur de l’histoire. Il ne pourrait jamais être égalé.

Agboton Calex Alexis : Quand tu vas parler maintenant,on va dire que tu es opposant. . Merci quand même pour les routes.

Anato Nazaire Anato : »La route de développement passe par le développement de la route  » le propos du Président Thomas Boni YAYI. Svp! Proposer aussi des mesures concrètes pour sauver cette jeunesse.

Castel Amaral : Quand on en parle,nos frères disent que le développement passe par la route mais il faut être rassasié pour passer sur la route

Issa Tairou ; Même en Amérique ou en Chine il y a des chômeurs. On ne peut pas faire tout en seulement 8 ans ou 10 ans. Mais il faut bien reconnaître que beaucoup a été pendant 8 années de gestion par le président Talon.

Sinou Zinsou Ange : La vérité est amère mais il fais le dit ,le président Boni Richard Ouorou vous avez tout dit et la question est qu’on ne peut plus très clair

Merci beaucoup. Prenez aussi soin de vous cher président Libéral

Agossadou Jean de Dieu : Monsieur le président de la République, Monsieur le Ministre de cadre de vie, le DG et CP KPONVI Fidèle de la société SIRAT BÉNIN SA.

Nous sinistrés du projet d’aménagement et de bitumage des routes misséssinto-zinvié-sèdjè dénou et zè et cococodji-hêvié-ouèdo et calavi kpota.

Avons déposer nos dossiers pour entré en possession de nos dédommagements depuis 2020 certains depuis 2021 à la direction générale des infrastructures sans une suite et quand les choses se sont mise dans les mains de SIRAT BÉNIN SA rien aussi.

Depuis cette date ou année rien n’est de bon pour nous. Alors que depuis quand nous nos maison ou boutiques sont cassée rien n’est de bon car chacun nous avons dû dépensé toutes ses économies pour construit ces maisons démolies. Pour que ces revenus pourrait survenir à nos besoins ou nous héberger dedans.

Aie pitié à cause de Dieu, car difficilement que nous arrivons à joindre les deux bouts avec nos petites familles et voilà encore la rentrée prochaine de 2024-2025, comment ferrais avec la fourniture et la scolarité de nos enfants ?

Alors que à cause des moyens, les enfants de certains ou certaines ce sont déjà déscolarisée.

Aidé nous afin que nous puissions rentrée en possession de nos dédommagements pour survécu à des difficultés de vie que que nous rencontrons.

Kougbeagbede Codjo Maurice : Cousins du Nord et cousins du Sud Leur devenir est inquiétant.

Mahouto Noumonvi : De quelle formation des jeunes toi Mr Boni Richard tu parle? un bête qué tu es comme ça.

Cheikh Mhd Takpara : Voici des propos pleins de sens pour qui peut comprendre.

Je me pose toujours la question de savoir si c’est un manque de volonté ou un manque se politique coercitives pouvant découragé l’usage de ces produits toxiques.

Dans le meme temps j’ai pris tres récemment un herbicide sélectif à la SODECO à 5000fcfa l’unité alors que dans les marchés locaux le produit est à 2500.

Si réellement l’Etat voulait décourager les producteurs à prendre ces produits à glyphosate sur les marchés locaux , est ce la bonne stratégie? Jusqu’à 5000/bidons pour un simple producteur qui fera seulement une récolte dans l’année???

Maurice Basile Viakou : Nos présidents préfèrent investir beaucoup dans les constructions de route, logement et autre que d’investir dans les créations d’entreprise pour faire travaillé le peuple or seul le peuple peut développer ce pays.

Tigo Heureux Degrâce Lucien : Votre publication est dépourvue de sens . Je regrette. Au moins les prêts ont servis a construire les routes. Facile de critiquer mais difficile de mieux faire dit-on. Réveillez-vous. Vous ne pouvez pas faire mieux que ce régime.

موسى أوباديلي : Il y a encore quelques uns qui réfléchissent encore. C’est bien.

Modérand Sindji : Vraiment inh c’est une pure vérité.

Nous voulons des offres d’emploi Mais la majorité des offres d’emploi offert par le gouvernement n’est que des concours militaires où police républicain.

Nos jeunes frères et sœurs qui y vont es ce par amour pour le pays ? Où pour avoir quelques choses par mois comme salaire ?

Pensez vraiment à celà, et aider nous à trouver de travail.

César Akohoue : Ce débat de route, il faut qu’on arrête de le faire .. On a dit la même chose a Soglo, puis a Yayi et maintenant Talon….

La nécessité de la route est primordiale aux développements industriels et tout autre développement….je ne veux pas faire un long débat…..

Fidèle Fagnon : Pour quelqu’un de votre rang, ce n’est pas un débat correct.

Nulle n’est Parfait. Maintenant qu’elle alternative nous proposons, pour continuer ce qui est déjà fait de bien, et corriger ce qui est mauvais, pour avancer.

Tigo Heureux Degrâce Lucien : Tu fais un petit don et c’est toi qui crie un peu partout et tu es venu nous dire quoi?

Hilarion Mermez Olaye : Cette publication n’a rien de bon !

Antoine Koli : J’ai cru un instant que nous avons basculer.

Gaston Sambieni : Ces routes qui se construisent encore dans une partie du pays et à quel prix encore ?

Malenou Sègnon Barnabé : Advienne que pourra

Landry Romuald Senou : Voilà ce que le peuple béninois dans sa grande majorité attend de vous. Merci pour cette belle analyse.

Gildas Pachedor Gbegla : Les amis d’en face ne seront pas d’accord avec vous hein mon président

Gildas Mahougnon : Ce qui est sûr les route vont s’abîmer avec le temps et on va continuer à rembourser

Alandeflo Floroflores : Les AME sont laissés à leurs soldes

Dudélice Tella : Tous les même une fois en hors circuit on devient moralisateur on sais que la jeunesse a besoin d’emploi une fois là bas on commence par tourner en rond.pfff

La route c’est le développement et ce ne sont pas des robots qui construisent ses routes sais bien des jeunes qui y travaillent .

John Cãsćãdēür : Merci beaucoup prego

Claudette Kougbla : Triste réalité. je partage votre point de vue merci

Simplice Bio Etienne :C’est du lourd !!!!!! Merci

Geoffroy Sègbégnon Loko : Merci

Herv Sewanou : Mr Boni vous avez bien parlé

Catherin Adjogou : On s’adapte

Fréjus Abadji : Merci chef

Gildas Yaovi Gandaho : Belle remarque.

Rouchdane Koukoui : Que proposez vous monsieur?

Ferréol Vigninou Ountin : Monsieur Boni Richard Ouorou,

Vous êtes un leader d’opinion que beaucoup de gens suivent mais je constate que vous préférez conduire vos flowers dans l’erreur à cause de vos intérêts inavoués en vous faisant la communication politique que de dire la vérité. C’est vraiment dommage. Vous, béninois de la diaspora êtes plus bien placés pour mieux apprécier l’effort que le gouvernement fait à cause de de ce que vous voyez dans votre pays d’accueil.

Dans quel pays du monde le gouvernement a pu trouver de travail à tous les jeunes? Le rôle du gouvernement c’est de créer les conditions favorables (climat politique stable, infrastructures routières disposition de l’énergie électrique de qualité, accès à l’internet à moindre coût, code d’investissement attrayant, etc.) pour attirer les investisseurs. Seule l’industrialisation de notre pays peut permettre à travers le recrutement de la main d’œuvre l’absorption des jeunes en quête d’emploi. Nos gouvernements successifs depuis 90 ont passé leur temps à gérer le pays pour se faire réélire. Seul le président Soglo a osé mettre ce pays au travail mais la suite nous le connaissons tous. Les ennemis du développement l’ont poussé à la porte.

Si je vous comprends bien, l’adage selon lequel : « la route du développement passe par le développement de la route » n’est qu’un slogan sans sens.

Vous parlez de formation inadéquate de la jeunesse. Cette situation date d’aujourd’hui ?

Pourquoi le gouvernement initié la construction des lycées agricoles et techniques ? Pourquoi SEME CITY est créé ? les métiers du numérique sont au même niveau qu’il y a 10ans, si non, qu’est-ce qui a pu favoriser son développement actuel?

L’exemple de la GDIZ est un modèle à suivre pour trouver à faire à la jeunesse.

Monsieur Boni Richard Ouorou, dépassez les querelles politiques et faites de bonnes analyses assorties de propositions pour améliorer ce qui se fait par le présent Talon pour l’essor économique du pays.

TheCoach Jeff : Notre plus grande ressource c’est la ressource humaine et il faut la former pour qu’elle développe le pays. Un pays avec des tarés ne va que détruire tout. Le développement de tous les secteurs d’activité en même temps est difficile, il faut donc choisir son secteur. On ne peut pas critiquer sur cela mais sur le résultat. Et là c’est bien fait même si tout n’est pas rose et tout ne peut jamais être rose, il y aura toujours des critiques…

Jp Gongo : On aime le pays mais pas les béninois

Mangou Trompa : Frère Richard, il faut proposer quelque chose pour gagner ou perdre nos cœurs. Ne faites pas comme un ancien homme politique qui allait en campagne électorale avec pour seul agenda de détruire celui qui était aux affaires. Nous voulons du concret. Bon désormais, nous allons raser les bétons pour commencer le vrai développement

Odilon Avé : Sortez les statistiques des prédécesseurs de celui-ci en matière de création d’emploi

Arrêtez d’être haineux contre le président. La première puissance mondiale, les USA allez vérifier leur dettes , la France qui est là, demandez vous combien de dettes elle a

C’est du dilatoire tout ce que vous racontez. Au moment où les autres ne construisaient pas, combien d’emploi ont-ils créé pour la jeunesse. Avec l’arrivée du président Talon, c’est même mieux. Il a fermé le robinet à ceux qui pliaient les ressources du pays et vous criez

Alvin Awoe : J’espère bien que des dizaines de chantiers ouverts ,on retrouve des béninois qui sont bien formés. Talon construit avec Béton , bientôt il va partir quelqu’un d’autre va venir pour donner aux béninois à manger.

Oluwa Shegun : Vous avez encore manqué de vous Taire

Etienne Agbadossoke : Valider

Roméo Mohamed Lerois Dieu : Faites la politique sans critiquer.

Allez de l’œuvre pour convaincre que d’attendre le pouvoir pour venir à l’œuvre.

Nous sommes fatigués des promesses politiques.

Cyrille Lautaro Dossou : << la route du développement passe par le développement de la route>>.

– Yaaz Bonkanon II : C’est tellement misérable que d’autres préfèrent quitter le pays. Ce qui mène certaines personnes à une mort certaine……

Fitini Sissoko : Je suis la pour les commentaires

Super fan – Missétché Télesphore Bodjo : Un homme de vision.

Brice Sdbm : Et les argent emprunter qui va rembourser ? C’est nous n’es pas ? On souffre trop chef

Sylvestre Koto : L’avenir ne se construit pas avec du béton

Rodrigue Yaï : En tout cas

Richnel Degila : Très bon constat proposé des solutions

Yasminath Orou Dari Kô : La vérité

Jules Hounnou : Le développement c’est aussi GDIZ – Glo-Djigbé Industrial Zonee. Sans oublier le chic de calavie

Blaise Agossou : Bavardage inutile

Emmanuel Biaou : Oui pour certains

Allô Puisatier : Boni Richard Ouorouu

Mora Djamal Lafia :Chaque domaine est touché par des réformes. Rien ne marche. Les paysans souffre

Bienvenue Kodjegbe : Une réalité ! Triste pour notre pays

Rayhane Halidou : C’est malheureusement ce que soutiennent les pseudo klébés et ils s’en inventent d’ailleurs

Dedewanou Gbènodjiwu Charles : Et c’est avec tout ça que Josué Prince Dansi viendra nous faire des éloges du gouvernement.

Pascal Kousouvou : je ne sais pas pourquoi je vois cette publication d’incompétence comme ça

Imourane Adam Soulé : J’ai perdu ma matinée aujourd’hui à tirer sur la sonnette d’alarme sur ces maux graves de notre pays

Damien Tossa :Vérité pure

Hadarou Monkou Chabi Kandi : Hummmm

Farwell Ahogni : Vérité absolue

Sabi Daré Orou Benon

Notre prési est un capitaliste sauvage. Donc l’humain n’a jamais été au cœur de sa gouvernance. On peut tous mourir, il s’en fout

Woroukiyo Gbebonso Bagnan : Ah bon !!! Je ne le savais pas hein.

Mohamed Chabi :Triste réalité vraiment Mr Boni Richard Ouorou

Crismer Folly Combey Adamah : On va parler maintenant, ils diront << Jeunesse inconsciente >> . Vous aviez de la haine contre le président, patati patata

Dieudonné Biaou : J’approuve entièrement votre opinion. Ils font semblant de ne pas comprendre, mais ils comprendront.

Edmond Zinsou  à Dieudonné Biaou : que le cas Soglo vous édifient, on peut faire la politique autrement avec des arguments pour ne pas soit même se voir rattraper par le passé. Et mieux le développement passe par la route, c’est un ensemble. À la limite c’est un langage enfantin, d’analphabètes. Hors c’est bien un intellectuel qui parles comme ça.

Mangou Trompa à Dieudonné Biaou : Même ceux qui font vélo sur autoroute veulent se plaindre? Ah non.

Arnaud Séna à Monsieur Boni Richard Ouorou : Je vous suis depuis quelque temps. Avec beaucoup d’intérêt, je dois dire. Ce post, me laisse très perplexe. J’ai douté un instant de vos compétences académiques. Mais je suis allé vérifier sur internet : et vous êtes un spécialiste du développement des marchés.

Je ne veux pas croire que vous soyez l’auteur du texte que je commente. C’est probablement le CM qui l’a publié sans votre relecture. Vos compétences académiques et intellectuelles, je pense, ne vous pas la liberté d’être aussi affirmatif et catégorique sur le rôle du béton dans le développement. Je vous prie de faire une relecture. Notre peuple mérite d’être mieux informé et éduqué. Signé Un frère du Bénin Arnaud SOUDÉ

Septime Franck : C’est dommage quand les africains conçoivent le développement par la construction de routes des statuts avec des emprunts à long terme ..

Ceci n’augure rien de bon pour le futur.

Dans un continent où l’éducation la santé et la lutte contre la faim est relégué au second plan.

Lafrique à travers des dirigeants non éclairés porte en elle même les germes d’un désastre future.

D’ici 10 ans ce pauvre et triste continent sera un désastre. Les perspectives sont pas bonnes et le diagnostic nous appel …

On serait prévenu.

C’est bien dommage pour une génération sacrifiée.

Merci Boni Richard Ouorou

Merci Rico Dolar

Pour ce diagnostic : Gael Seton

Jusqu’à vous

Gbémiga Oladedji : Sans être défenseur du gouvernement qui n’est pas parfait, il faut au moins reconnaître la nécessité des routes et chantiers en construction. Après on pourra parler du développement énergétique qui va faire pousser des industries comme des champignons.

Loisel Djossouvi :Ah OK

Junior Justé : Triste

Joseph Georges Varango : Quelles sont vos propositions ? N’a t-on pas besoin de belles routes et d’infrastructures ? Peut-on financer notre développement sur nos fonds propres? Que feriez-vous autrement? Lui il a fait ce qu’il a pu ou voulu faire, et il a presque fini! Quel est votre projet?

Alexis Hounyo les Jumeaux Nationaux à Joseph Georges Varango :  la première fois vous lisez ces opinions apparemment. On a besoin des routes, de infrastructures. Mais ça ne doit pas primer sur l’avenir de la jeunesse. Le développement, ce n’est pas que les infrastructures. Combien de personnes ont déjà trouvé de boulot dans votre famille dans ces 8 dernières années si ce n’est pas l’aspiranat et les concours militaires ?

Mangou Trompa à Alexis Hounyo les Jumeaux Nationaux :  L’état n’est pas un pourvoyeur d’emploi. L’état est un superviseur. Je demandais le mois dernier à une tante revenue du Canada qui sont ceux qui travaillent là-bas pour le compte de l’état. Avec stupeur, elle m’explique que ce sont en majorité des africains qui se cherchent encore. Sinon, les emplois sont avec les entrepreneurs.

Paix Joie à Alexis Hounyo les Jumeaux Nationaux :  façon tu le défend , on dirait c’est toi qui es l’auteur du post.N’importe quoi 

Cette publication de Richard Boni Ouorou  a été également partagée par d’autres followers dont Anderson Houndete. Des réactions s’en sont suivi :

Anderson Houndete

JE SUIS ENTIÈREMENT D’ACCORD MAIS À QUI LA FAUTE ?

PAS AU PRÉSIDENT CAR IL DONNE AU PEUPLE CE QU’IL AIME..

AU BÉNIN, LE PRÉSIDENT QUI A TRAVAILLÉ C’EST LE PRÉGO QUI A CINSTRUIT DES ROUTES ET QUI ORGANISE DES CONCERTS GRATUITS

Boni Richard Ouorou

Donc au Bénin se développer c’est construire de belles routes avec de l’argent emprunté alors que la jeunesse est sans emploi, sans perspectives d’avenir et que la majorité n’est pas adéquatement formée ?

Les paysants traînent des bidons de glyphosate sur la tête remplis d’eau pour cuire des repas qu’ils partagent en famille par manque d’information sur ce produit hautement cancérigène?

À cette allure, dans 10 ans au nord tous nos cousins seront djihadistes et nos cousins du sud que des gaymans.

L’avenir ne se construit pas avec du béton.

Prenez soin de vous.

Boni Richard Ouorou

Les réactions :

Fonton Sylvestre Honvou : C’est la propagande qui fait croire cela.

Fidèle Adanho : Le développement est un système , les routes seules ne suffisent pas

Septime Franck à Fidèle Adanho : les routes sont loin derrière même

Septime Franck : Le gros problème de l’Afrique c’est le peuple qui la compose… son analphabetisme qui constitue un gangrène pour son développement

Et cest sur sa que les dirigeants surf..sa arrange nos autorités qui les abrutisse davantage.

On fait voir au peuple ce qu’il aime … nous n’aimons pas le bien être nous aimons ce qui est beau sans savoir qu’il faut des préalable à cela ..

Un peuple qui n’est pas instruit ne pourra pas entretenir ce qui est beau

William Renaud Kissezounon à Septime Franck :  Merci beaucoup

Ce qu’ils nous vendent ici, est-ce-qu’ils peuvent faire pareil pour une société bien instruite..

Le comble ici est que, c’est avec la peur qu’ils tiennent les éveillés

Jénari Sotohou : Tu ne vas jamais cesser d’étonner quoi. Le dernier paragraphe, walaïï , routes, concert gratuit. Sinon la jeune aime les routes et les concerts gratuits

Anderson Houndete à Jénari Sotohou : est-ce que c’est faux ?

Jénari Sotohou à Anderson Houndete : C’est vrai pour ceux qui ont moto et véhicules et qui aiment les concerts

Alain Sotchoume : #Question #Banale: Cette jeunesse sait-elle de quoi l’on parle et de comment elle est traitée ?

Anderson Houndete à Alain Sotchoume : pas du tout.

Sam Yakti : Malheureusement c’est ça heinn